Rien de mieux que les vide-greniers pour vendre ses vêtements d’enfants

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Pour la raison que les pioupious grandissent très vite pendant leurs premières années, les mamans se retrouvent sans s’en rendre compte avec un stock de vêtements devenus malheureusement trop grands pour eux. Je me fais un peu d’argent en les vendant dans un vide-greniers.

Joindre l’utile à l’agréable avec un vide-greniers

C’est maintenant la troisième année consécutive que je participe à un vide-grenier pour me désencombrer des effets vestimentaires que mes enfants ne portent plus. Et si vous aussi envisagez d’en organiser, les dates de vide-greniers sont dispo ici. Pendant plusieurs années, j’ai essayé de les entasser dans des bacs de rangement, et dans des sacs en PVC hermétique, mais c’était devenu rapidement très encombrant. De plus, je devais libérer de la place dans mon débarras et dans mes placards.

 

Dans un premier temps, j’ai pensé à les vendre sur LeBonCoin, le site de petites annonces gratuites. Mais prendre des photos des articles et insérer les annonces une par une prenait trop de temps. Et la patience n’est malheureusement pas une de mes vertus. Après seulement la cinquième, j’étais déjà découragée alors qu’il me restait encore trois cartons à faire.

Grande adepte du shopping en ligne, une copine me donne alors l’adresse d’un site spécialisé sur laquelle elle a l’habitude de déposer les effets vestimentaires de ses petits. Le concept est assez intéressant dans la mesure où les articles sont à envoyer par la poste. Mon seul reproche ? Je trouve les prix de reprise trop bas. Et dans la mesure où j’ai surtout des vêtements de marque, ce système ne me convenait pas. J’avais ainsi le choix entre un dépôt-vente et un vide-greniers. J’ai opté pour le second.

Le mode d’emploi d’un vide-grenier vestimentaire

À chacun de mes vide-greniers, je commence toujours par me renseigner sur l’agenda des prochains évènements qui se dérouleront dans ma région. Et pour me laisser le temps de bien me préparer, je choisis les sessions les plus éloignées. Comme cela, je peux aussi faire un peu de publicité autour de moi. Comment je procède ? J’en parle beaucoup à mon entourage et à toutes mes connaissances.

Je distribue aussi des flyers et je fais imprimer de grandes affiches que je pose chez les commerçants de mon quartier. Par la suite, je sélectionne les articles que je vais proposer en vente. C’est l’étape la plus fatigante et la plus harassante, puisqu’il faut trier minutieusement les effets vestimentaires. Pour ma part, j’élimine d’office les vêtements déjà très usés et déchires. Je ne garde que ceux encore en bon état. Je vérifie s’il n’y a pas de boutons qui manquent, de fermetures cassées ou d’ourlets défaits.

Pour cause, le moindre défaut peut beaucoup pénaliser un article et le rendre invendable. Après, je peux m’attaque au prix. Ici, évitez de faire preuve de sentimentalisme, il faut que ça parte, il faut donc faire du « petit prix ». N’oubliez pas, l’on y espère conclure de bonnes affaires. À titre informatif, je fixe généralement le prix des pantalons à 4 EUR, des robes à 3 EUR, des shorts et des T-shirts à 2 EUR, sinon les vestes, blousons ou manteaux à 5 EUR.

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